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GUERRE 1940-1944 |
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SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°1 (cliquez) |
La télévision nous montre tous les jours des reportages de guerre. Spectateurs presque toujours présents de ces violences, des enfants, surtout des garçons. Témoins jugés sans importance, personne ne les chasse. Ils ont donc le privilège d’assister sans être dérangés à des scènes parfois terribles. Ce fut mon cas entre 1940 et 1944 à Saint Michel-en-Grève, Département des Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor). |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°2 (cliquez) |
Le bourg de Saint-Michel-en-Grève. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°3 (cliquez) |
Les livres d'Histoire pourront se permettre de faire l'impasse sur Saint Michel-en-Grève qui ne connut nulle épopée guerrière. Pourtant il y eut dans ce petit village des "Côtes du Nord" un condensé des évènements qui ont marqué, en France, l'Occupation et la Libération. ..... |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°4 (cliquez) |
........... Tel était le début de la lettre que" Jimmy" écrivait à ses parents, aux Etats-Unis d'Amérique. "Jimmy" était matelot à bord de l'un des LST échoués sur la Lieue de Grève en ce mois d'août 44. J'avais eu une brève rencontre avec "Jimmy". Je le laisse raconter : .... |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°5 (cliquez) |
Les guerres, sauf exception, bâtissent de l'éphémère, et c'est mieux ainsi. Des périodes troublées de l'Histoire, la mémoire collective ne conserve donc le plus souvent que le souvenir des êtres humains. Car l'Homme restera toujours plus passionnant que les ouvrages construits par lui, même s'il s'agit de chefs d'œuvre dont la durée de vie est infiniment plus longue que la sienne. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°6 (cliquez) |
Saint-Michel et les touristes. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°7 (cliquez) |
Au moment où ils sont repérés, les avions sont à la verticale de Plouaret : « Ceux-là ils sont pour nous ... ». La suite ne se fait guère attendre : un des deux chasseurs fait un virage au-dessus de la mer et amorce une descente dans l'axe de la route sur laquelle il ouvre aussitôt le feu avec ses canons de 20mm. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°8 (cliquez) |
Rendre compte du débarquement anglo-américain d’août 44 sur la plage de Saint Michel, sans évoquer la brutale disparition de la Croix de la Lieue de Grève, serait ignorer un évènement qui intéresse toujours les passionnés d’histoire locale. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°9 (cliquez) |
Les Rails Curtoirs.... La Lieue de Grève faisait partie du vaste secteur Normandie – Bretagne – Pays de Loire, attribué à la 7ème Armée Allemande (AOK 7). Cette armée qui avait son QG au Mans, était donc responsable des côtes de ce secteur ..... |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°10 (cliquez) |
Doryphores, peaux de lapins et semelles de bois. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°11 (cliquez) |
Les croix gammées. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°12 (cliquez) |
Le vendredi 4 août 1944, une colonne motorisée allemande partie de Lannion à la fin du jour avait semé la mort tout au long de sa fuite en direction du Finistère. Une longue semaine plus tard, leurs vainqueurs investissaient la place ... |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°13 (cliquez) |
La mitrailleuse allemande en août 1944. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n° 14 (cliquez) |
Le tunnel du Grand Rocher, creusé par les Allemands. |
SOUVENIRS DE GUERRE A SAINT-MICHEL n°15 (cliquez) |
Le débarquement des alliés à Saint-Michel. |
Maison Kerempichon en août 1925 avec la famille : François, Sophie (grands-parents de Yves Kerempichon), Roger (père d'Yves Kerempichon) et Lucie (tante de Yves Kerempichon). A noter que la maison n’avait pas encore été agrandie, qu’il n’y a pas l’électricité et que la route n’est pas goudronnée (ce sera fait au début des années trente).
Maison Kerempichon en septembre 1930 avec Roger (père d'Yves Kerempichon) et Lucie (une tante) : à noter la présence de la cabine téléphonique du village (plus tard transférée chez Jacob).
Photo prise en juin 1943 où Yves Kerempichon est avec Geneviève, sa sœur, au Rocher Rose. A noter le soldat allemand à demi caché à gauche, tout près des enfants et les trois autres assis sur le muret de la route. Le cuir manquait déjà en 1943 car le soldat ne porte pas les fameuses bottes de la Wehrmacht !.
Joyeux groupe attendant le train à Saint-Michel-en-Grève en l’été 1930 (à droite, tante Lucie Kerempichon, avec le col blanc).
La sortie de la gare de St Michel en Grève en 1930 (cliché Roger K.).
Voir
La famille
Kerempichon de Saint-Michel-en-Grève durant la guerre de 1940-1944.
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